Agriculture : A travers l’apport des jeunes dans la sécurité, la population de Rutshuru peut maintenant faire les activités champêtres dans les champs de Katemba aisément
Pas de problème sécuritaire enregistré pour le moment aux champs de Katemba précisément à kidodi une entité réputée il Ya quelques jours comme zone de kidnapping, c’est une précision donnée par les agriculteurs (trices) rencontrer sur le lieu lors de notre descente sur terrain ce mardi 21 avril 2020 qui disent avoir pour eux quelque chose à se réjouir.
« Les plantes poussent très bien comme l’agriculture de maïs, soja et haricot, on peut s’attendre à une bonne récolte car à partir de sarclage nous voyons que le rendement sera meilleure ».
Ils poursuivent en remerciant l’effort de ceux-là qui font que les agriculteurs de Katemba précisément à kidodi prêt du PNvi la face en toute quiétude. Je cite : « cette situation sécuritaire qui promet aujourd’hui, c’est suite à l’initiative des jeunes qui se sont décidés de faire les patrouilles aux alentours pour aider à ce que les kidnappeurs ne viennent plus nous embêter dans nos activités champêtre ; c’est une grande initiative que nous saluons ».
Selon eux cette contribution de la jeunesse à la sécurité des champs proches du parc national de Virunga est d’une grande importance, cependant jusqu’à présent les agriculteurs travaillent toujours avec peur car les séquelles sont toujours dans leurs cœurs, ils demandent cependant l’implication de tout le monde à soutenir se jeunes pour que cette accalmie observé demeure toujours.
Par contre pour la population de kibirizi toujours dans le territoire de Rutshuru peu d’eux pourront trouver à manger après la destruction de plantes autours du parc national de Virunga par l’ICCN. A peu près une dizaine d’hectare a été détruite par les éco-gardes autour du parc à kibirizi par le défaut de communication entre le PNvi et la population victime, une question qui inquiète la population de la zone en général et les agriculteurs en particuliers. Contacter sur place un agriculteur, celui-ci précise : « la façon dont la destruction a été faite est inhumaine, ils devraient attendre la récolte puis suivre avec la démarcation avant de faire ce qu’ils ont fait. Nous attendons la décision des autorités du parc pour savoir le sort de la destruction de nos plantes détruite, si rien ne se fait nous allons montrer notre indignation ».
Contacter le porte-parole du PNvi nos effort sont vain. Dossier à suivreRafiki Zakaria
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